Investissement toujours conséquent, la liaison au sol est l'élément le plus important. Il ne faut jamais le négliger. Et on se dit souvent "mais pourquoi je ne l'ai pas fait plus tôt ?"
Sur la R6, j'avais chiné un amortisseur EMC Sportshock, qui n'était pas de première génération mais révisé et fonctionnel. La plage de réglages est supérieure à l'origine, ils sont également relativement simples et intuitifs.
Mais il ne suffit pas de greffer un amortisseur brut de pomme pour obtenir de bons résultats. La réussite est avant tout question de comportement homogène. C'est pourquoi j'ai confié ma fourche à SPS Racing pour réaliser une révision et préparation adéquate : adaptée à mon gabarit et à mon pilotage.
Dernier élément, classé avec les suspensions car il participe au bon comportement de la moto : l'amortisseur de direction. Equipement qui n'est pas impératif à la base, il devient vital quand on touche les autres réglages (dont l'assiette et l'empattement) et qu'on roule sur des circuits bosselés ou aux vibreurs traîtres comme à Ledenon.
Précédent : 6° La démultiplication
Suivant : 8° Les accessoires
***
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire